La première, c'est que Bernard devrait rapidement se trouver un(e) attaché(e) de presse afin de pouvoir se préparer plus sereinement pour répondre aux accusations autrement que par des principes généraux. On sait aussi que Pierre et Bernard aiment tous les deux l'argent car on suppose que l'écriture de ce livre n'était pas une mission divine c'était aussi pour le vendre...., ainsi, ils partagent, semble-t-il cette affection, avec quelques milliards d'autres dans le monde.
Maintenant si ce livre est simplement destiné à faire le portrait à charge d'un homme sans même le rencontrer, c'est étrange et assez inutile...sauf pour l'auteur, et quel lancement...! Si en revanche, il s'agit de parler des moeurs dérangeants d'une classe politique qui ne résout pas à tourner la page de pratiques qui étaient celles d'une époque, pour entrer dans une ère nouvelle de transparence, de droits nouveaux pour la presse et les constituencies, de mettre un terme à toutes les situations, où, pour des raisons, historiques, quelque fois sans doute compréhensible, mais ce n'est plus possible, on peut avoir un pied dans le secteur publique et l'autre dans le secteur privé, le pouvoir exécutif procédant aux nominations dans les organismes utilisant des fonds des contribuables sous le contrôle du pouvoir législatif avec sans doute une disparition de toutes les entités mélangeant les deux genres.
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