régionales. Régulièrement, la "violence" est utilisée pour tenter de discréditer les mouvements de défense des droits sur l'île mais il semble que cette fois une partie grandissante de la population ait pris conscience qu'il n'y a rien d'illégitime ou de "terroriste" dans la défense de sa terre, de sa langue ou de sa culture et que peu importe les moyens qui ont été mis en oeuvre pour réduire ces droits à néant, un jour, le réveil sonne et le droit éternel de parler avec fierté sa langue , de disposer d'un espace public pour le faire, de vouloir faire partager la beauté de sa culture longtemps montrée du doigt comme une anomalie s'impose. Probablement, les semaines qui viennent seront l'occasion pour de nouvelles provocations mais il y a dans l'air comme un souffle d'un avenir meilleure et plus serein dans les revendications les plus légitimes.
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